Art populaire religieux : Patenôtrier. Ensemble d'objets de dévotion et de piété, chapelets, d'outillage et de meubles de métiers anciens. Provenant d'une collection particulière

lundi 09 décembre 2019 13:00
11 place de la Mairie 49650 Brain Sur Alonnes
Sale information

Contacts : Elie MORHANGE 06.84.29.45.89 ou Sophie SESMAT 06.63.80.29.01
EXPOSITIONS PUBLIQUES
Lieu dit Les Caves, au bout de l'allée des Caves
49650 BRAIN-SUR-ALLONES

Samedi 7 décembre 2019 et Dimanche 8 décembre 2019

de 10h00 à 16h00

Lundi 9 décembre de 9h à 11h

À 15 mn des sorties d’autoroute entre Saumur (49) et Bourgueil (37)


VENTE
11 place de la Mairie
49650 BRAIN-SUR-ALLONES

 

Les lots sont a retirer au plus tard le 15 décembre

Tout objet, lot ou meuble non récupéré après cette date sera donné à une œuvre de charité

 

« Musée des Patenôtriers » famille Lissague

Un peu d’histoire
L’histoire de la ville de Saumur est intimement liée à l’artisanat de la confection des chapelets. Dans les rues, autrefois, les dames, jeunes et moins jeunes, assises dehors en groupe, sur le perron de leur maison, confectionnaient des chapelets à la main. Ces chapelets étaient vendus dans toute la France et au-delà et personnalisés en fonction du lieu de pèlerinage concerné. La paternoterie fut un très bon complément de revenu dans de nombreux foyers de la région.
Venant du Sud de la France, la famille Lissague fût très fière de racheter l’ancienne entreprise Mayaud, patenôtriers implantés depuis des générations sur les terres saumuroises, et de lui donner un nouvel essor. Les enfants de la famille ont grandi avec ce projet et l’ont accompagné, faisant visiter chacun leur tour, le week-end, le « Musée des Patenôtriers » ouvert 7 jours sur 7 gratuitement au public à Saumur sur le Quai Mayaud que leurs parents avaient créé en collectant année après année des documents, objets, outils et machines. Raconter l’histoire de cet artisanat, à travers une vaste collection d’objets était une des grandes passions de Monsieur Lissague et de sa famille.
Or, il est des histoires qui doivent s’arrêter… Le marché des « bondieuseries » s’est doucement éteint, avec le déclin de la pratique de la religion. L’entreprise a dû réorienter sa production.

 

Dans cinq grandes salles, la famille a pris soin de conserver des milliers d’objets religieux. Il s’agit d’anciens stocks rassemblés au fil de plusieurs  décennies  qui permettaient la fabrication des chapelets (fils, perles, croix, entre-deux, …), leur commercialisation (planches et valises de commerciaux) mais aussi la collection (un peu la Prévert : documents , objets , outils , machines …) qui était exposée dans le musée.
Les archives de l’entrepr

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